Le Réseau Sortir du nucléaire

tel que présenté dans le rapport de la mission granite (juin 2000)

 

 

"L'association Sortir du nucléaire s'est montrée particulièrement active en divulguant la carte des sites, épisode présenté comme une fuite, en assurant partout la résistance à la concertation, et en favorisant par l'ntermédiaire de ses membres l'organisation de manifestations locales.

Il s'agit en réalité d'un réseau regroupant 489 associations (en juin 2000) toutes favorables à l'abandon du programme nucléaire français. (...)

Né de la réussite de la lutte contre Superphénix, le réseau béneficie d'un important savoir-faire médiatique et logistique avec un fichier de plusieurs milliers d'adresses.

Le but du réseau est de mettre en place un rapport de forces permettant d'arrêter la production d'énergie nucléaire en France. Il s'efforce de maintenir un équilibre entre la vie associative de base et l'efficacité d'un groupe de pression doté d'un salarié (une autre embauche est prévue).

Chaque association ou groupe signataire de la charte s'engage à participer aux campagnes décidées annuellement lors d'une assemblée génerale (informations tirées du site Internet du réseau).

Le réseau Sortir du nucléaire vit des cotisations des associations membres pour une petite part et des dons ou des prélevements automatiques que concèdent certains de ses adhérents.

Ses actions prennent la forme de pétitions, de la fourniture d'un matériel de soutien, d'une campagne d'information continuelle.

Pour le réseau, la Mission Granite ne peut pas être un interlocuteur".